Comment est née votre collaboration avec ADMI France ?
En 2008, nous étions propriétaires de notre parc informatique. Un jour nous avons décidé de mettre ce parc en réseau avec un serveur interne. Puis en 2012, après avoir vu d’autres chefs d’entreprise adopter Bureo, nous sommes devenus demandeurs. Serge Hernando nous a convaincu que c’était par le biais du serveur externe que nous pourrions gérer au mieux notre informatique, avec un coût de loyer constant et une maintenance des systèmes.
Quels logiciels métiers possédez-vous ? Comment s’est passée la migration de votre informatique vers le cloud ?
Nous possédons plusieurs logiciels métier tels que Lumière, un logiciel de gestion commercial, Cover et Autocad, des logiciels de dessin/3D et des logiciels de bureautique classiques. Leur migration vers le cloud s’est très bien passée. Le seul point fragile pouvait être la connexion internet, qui n’était pas liée à ADMI. Désormais, nous avons basculé chez eux et attendons de voir sur la durée.
Quels étaient vos freins pour passer à l’externalisation de votre système d’information ?
La gestion de notre parc informatique se faisait en interne, dans un local non climatisé qui pouvait atteindre des températures critiques et mettre en danger nos données. Nous souhaitions donc bénéficier d’un hébergement sécurisé. De plus, nous arrivions en fin de période de location, et étions proches d’une obsolescence du matériel. Bien sûr, au départ nous nous demandions où iraient nos données, comment elles seraient protégées et qui pourrait y accéder. Mais au final, toutes nos problématiques étaient favorables à cette externalisation.
L’intérêt du passage à Bureo fut également d’avoir un interlocuteur unique et de bénéficier d’un suivi. Quel est votre ressenti par rapport à ça ?
C’est effectivement très confortable et le système du ticket fonctionne bien. Quand on ouvre un ticket, dans le quart d’heure ou la demi-heure qui suit, nous savons que notre demande a été prise en charge, et enfin dans l’heure qui suit, le problème est réglé. Bien évidemment, cela fonctionne pour les petits dysfonctionnements. Le délai peut varier selon la gravité de la panne. De plus, nous avons récemment rencontré des défaillances sur une de nos machines, ce qui m’amène à constater que c’est dans la difficulté qu’on juge la qualité d’un service. Les équipes d’ADMI , aussi bien la direction que les techniciens, se sont démenées pour réparer le matériel. Je dois dire que c’est très agréable d’avoir une relation de proximité, courtoise et partenariale.
Financièrement, quel est le bilan pour SNI Veranco avec le cloud computing ?
Le bilan financier, c’est une stabilité du coût, ce qui permet de ne pas avoir de surprises. Depuis 4-5 ans, nos coûts informatiques ne varient pas. S’ils baissent c’est que nous réduisons notre effectif grâce à notre formule client léger modulable.